jeudi 26 septembre 2013

Et Sally remporte le Roxy pro

Je te l'ai déjà dit, j'adore Sally Fitzgibbons, parce qu'elle est pour moi un vrai modèle de sportive. Elle en veut, se donne à fond, et reste toujours positive. Et ce genre de personnage, avec un  tel état d'esprit et une détermination que tu repères à des kilomètres, ça force le respect, vraiment.


Sally n'avait pas encore remporté une seule épreuve des Championnats du monde cette saison. Souvent finaliste, elle s'était inclinée à toutes les épreuves précédentes, restant dans le haut du classement, mais jamais première depuis le début des championnats.

C'est maintenant chose faite, depuis hier, puisque Sally a battu Tyler Wright en finale du Roxy Pro, seule compétition française de l'ASP Women World Tour.


Carissa Moore, qui aurait pu être sacrée championne du monde 2013 à l'issue de cette compétition, devra encore réaliser quelques proueuses sur la prochaine compétition, victime de Sally Fitzgibbons en demi-finale.

Son travail, sa détermination et son état d'esprit l'ont enfin menée à la victoire, et personnellement, je me réjouis pour elle.


Rendez-vous au Portugal, du 3 au 7 octobre, pour la dernière épreuve des championnats !

Photographies tirées du blog et de la page Facebook de Sally Fitzgibbons

lundi 9 septembre 2013

La merveilleuse semaine de surf

Mon tout premier - mais sûrement pas le dernier - stage de surf s'est terminé samedi, après 10 séances de 2h dans les vagues. Moi qui voulait de l'intensif, j'ai été servie.


J'ai réalisé ce stage à l'ESB La Torche, en Bretagne dans le Finistère. J'avais choisi cette école pour sa situation géographique, puisqu'elle est l'école la plus proche du spot, et aussi parce qu'il y'a un an et demi, lorsque j'avais fait le tour des écoles pour m'inscrire aux cours du printemps, c'est celle qui m'avait le mieux reçue et parue la plus sympathique - vu l'accueil qu'on m'avait réservé dans l'école un peu plus loin, c'était pas trop dur d'avoir l'air plus sympa faut dire...-. 

Globalement, j'ai passé une bonne semaine. Le beau temps était au rendez-vous, les vagues n'étaient pas forcément tous les jours adaptées à mon niveau de débutante mais bon, personne n'y peut rien.
Une petite déception par rapport à la manière dont ont été menés les cours, puisque j'ai eu trois profs différents dans la semaine, ce qui gênait un peu la progression étant donné que chaque prof qui arrivait n'avait aucune idée du niveau des membres du groupe, et qu'en plus, j'ai eu des conseils un peu contradictoires parfois. En revanche on a adoré notre deuxième prof, qui passait autant de temps que nous dans l'eau, et adorait nous expliquer des millions de choses qu'on adorait écouter longtemps. 

Les gamins du mercredi après-midi sont un peu des tueurs, il faut l'avouer

Progression :

Au début du stage, j'ai progressé assez vite, la première matinée j'étais capable de prendre les mousses, de me lever sur ma planche et de rester en équilibre. Du coup le moniteur m'a vite envoyée dans les vagues lisses. Trop vite, parce que je me suis pas mal fait peur. Parce que le problème quand tu es un débutant qui tente de prendre une vague lisse, c'est que la plupart du temps tu ne la prends pas comme il faut, et tu finis secoué dans le rouleau à avaler de l'eau en espérant que ta planche ne te retombera pas sur la tête quand tu vas remonter. Forcement, après quelques séances à avaler des litres d'eau, j'avais le sel qui me brûlait le nez, et une trouille bleue de prendre les grosses vagues du fond.

Bon, par contre il faut le dire, au moment ou tu arrives enfin à prendre une vague lisse, la sensation que tu as est tellement géniale et indescriptible que tu en pleurerais d'émotion. Si si, je te jure.

Oui, là, c'est le bonheur

Physique :

On va pas se mentir hein, 4h de surf par jour, c'est dur, très dur. Les premiers jours, n'ayant pas encore les bons réflexes, tu te fais mal partout : courbatures aux épaules, aux abdos, le leash t'a ruiné la cheville, certains ont mal à la nuque aussi. L'avantage, c'est qu'en enchaînant les séances, les courbatures finissent par disparaître. Le plus difficile, c'est encore la fatigue. Moi qui suis pourtant couche tard, je pleurnichais à 20h que je voulais aller dormir et que j'avais pas faim. Et en me réveillant le matin, après 8-9h de sommeil, j'avais la sensation d'avoir dormi 2h. Si tu n'es pas très sportif-ve, prends plutôt 2h par jour, ça sera plus agréable. 

Par rapport au soleil et à l'eau de mer, je me suis pas mal faite avoir. Ayant été monitrice de voile, je pensais avoir les bons réflexes, mais c'était sans compter que tu vois beaucoup plus d'eau quand tu surfes que quand tu fais de la planche à voile. Deux choses à retenir : le produit solaire basique, ça sert à rien, il faut un de ces fameux face stick indice 50 waterproof qui te fait la gueule toute blanche mais qui protège vraiment bien, la deuxième chose, c'est que ton contour des yeux morfle comme c'est pas permis, et qu'il vaut mieux avoir une bonne crème hydratante spéciale contour des yeux à mettre matin et soir si tu ne veux pas pleurer tellement ça te brûle dans les vagues. Tu me remercieras pour le conseil, je te jure.

Le moniteur, lui, il a compris pour la crème solaire

En conclusion :

J'ai adoré cette semaine et je remonte sur un surf dès que possible - ça tombe bien, j'ai acheté une planche -. Les vagues lisses me font encore très peur mais je me dis que si les trois profs que j'ai eu jugent que je peux le faire, c'est que je dois vraiment le pouvoir - mention spéciale au dernier prof qui m'a nonchalamment balancé un "bon, t'as le niveau pour aller chercher les vagues du fond, alors si tu veux tu prends l'ascenseur là, et tu tentes, mais je te préviens aujourd'hui faut avoir des couilles, elles font 2m50", bien qu'ayant été flattée par le "t'as le niveau", je dois avouer que j'ai pas "eu les couilles" d'aller m'attaquer à des vagues plus hautes que moi...

Mais eux, ils ont pas de souci dans les lisses, hein

lundi 2 septembre 2013

Le premier jour de surf

Voila maintenant plus de 10 ans que je rêve de me mettre au surf. Après un cours d'initiation pris à 14-15 ans et pendant lequel j'avais vraiment accroché à ce sport, je voulais continuer mais n'ai finalement jamais pris le temps de le faire.

Cette année j'ai dis stop, ça suffit, quoi qu'il arrive je m'inscris pour un stage.

A l'origine, je voulais descendre une semaine sur Biarritz, mais finalement mon budget a eu raison de ce projet, il a même failli avoir raison de ce stage tout court, puisque ce sont finalement mes parents qui me l'offrent pour mon anniversaire.

En m'inscrivant, je n'ai pas fait les choses à moitié, j'ai pris le stage plein temps, c'est à dire que je suis sur ma planche 2h le matin, et 2h l'après-midi, l'espace d'une demie seconde, je me suis dit que j'étais folle, mais l'instant d'après, je me suis aussi rappelée que je vivais à Besançon, donc que si je ne m'y mettais pas un grand coup, je ne m'y mettrais jamais.

Je n'ai pas dormi de la nuit, l’excitation, le stress, je l'ignore. J'étais à la fois pressée et effrayée. Arrivée là-bas, j'ai commencé par aller voir les vagues. Mauvaise idée, puisque là, je n'étais plus qu'effrayée, en fait, elles me semblaient monstrueuses.



 Je me suis quand même inscrite - folle, je vous dis - et j'ai gentiment suivi le moniteur pour qu'il me donne ma combinaison et ma planche. Une fois sur le sable, il nous a expliqué comment prendre une vague allongés, et après un bref échauffement, nous a envoyés dans l'eau.

J'étais pleine de fierté, car je n'en ai raté aucune. Au bout de quelques vagues, le moniteur est venu me voir et m'a dit "bah maintenant, t'essayes de te lever, je te dis pas comment on fait, tu fais et je regarde comment ça te vient naturellement".

Visiblement ça ne me vient pas si mal naturellement, parce que la deuxième fois ou il m'a appelée pour m'expliquer deux trois trucs sur le sable, il m'a dit que je me levais avec la bonne technique quand je posais le genou, et que j'arrivais presque à me mettre debout en un temps, comme les vrais surfeurs, et tout ça sans aucune explication.

J'ai quand même eu le droit à une explication et des corrections. Ton regard ci, tes pieds ça, tes bras plus comme ci, ton poids plus à l'avant de la planche, aller tu retournes dans l'eau je regarde.

J'ai fait tout comme il a dit, enfin, essayé. Il était content je crois. Moi j'avais du mal à penser au regard, aux pieds, aux bras et à mon poids tout en même temps, et tout ça sans mourir noyée avec une planche plantée dans la tête. Sans compter que j'avais tellement de sel dans la bouche que j'aurais voulu vider la source de Volvic - c'est dommage, c'est trop bon la Volvic -.


Au milieu du cours de l'après-midi, il a même décidé que j'étais prête à sortir de la mousse et à aller surfer les vagues lisses. Moi je savais pas trop si j'étais contente ou pas, parce qu'en fait depuis le début je les voyais les vagues lisses, et franchement elles me faisaient flipper.

Le temps de la réflexion - je lui avais pas dit hein, que j'avais peur, je faisais ma fayote trop contente, tu penses bien - je l'ai regardé me faire des sculptures de vagues dans le sable pour m'expliquer la différence entre les gauches et les droites, comment on savait ou elle allait déferler, et l'endroit ou il fallait être pour prendre une vague lisse bien comme il faut, genre pour pas te faire aspirer par le mauvais endroit de la vague, tout ça. Il a du voir que j'avais peur, parce qu'il s'est amusé à en rajouter, genre "ah oui, si tu rames trop et que tu te relèves pas assez tôt, tu plantes l'avant de ta planche alors il faut trouver le bon moment". Très rassurant, merci.

Je les ai beaucoup regardé les vagues lisses, d'abord parce qu'elles déferlaient jamais au bon endroit pour que je puisse les prendre, mais aussi parce que comme ça je regardais comment faisaient les vrais surfeurs dessus.

Et puis je me suis lancée. J'ai même pas planté ma planche, et j'ai même pas eu peur - en fait une fois qu'on leur tourne le dos, ça va, c'est bête hein -. Et surtout, j'ai kiffé, vraiment, même si on utilise plus le mot kiffer depuis qu'on a dépassé l'an 2000.

Je crois que je vais devenir accro, en fait.





lundi 3 juin 2013

L'esprit de compétition, l'esprit sportif, tout ça

Je te mentirais si je te disais que je n'ai pas l'esprit de compétition. Comme tous les sportifs, j'adore être la meilleure, j'adore gagner. Et pas que dans le sport, dans tous les domaines - mais je te rassure, quand je ne gagne pas, ça va très bien quand même, je suis très bonne perdante -.

En revanche, je déteste la compétition, du plus profond de moi-même. Et j'ai bien conscience d'être totalement contradictoire en te disant ça.

J'ai commencé la compétition très jeune, en gymnastique, j'avais 9-10 ans, je suivais minimum 10 heures d'entrainement par semaine, j'en demandais trop à mon corps, j'en demandais trop à ma tête. L'esprit de compétition était présent au sein même de l'équipe, mais trop, beaucoup trop, et surtout dans ses mauvais côtés.

Je me suis tout cassé, chevilles et coudes en particulier, et j'ai fini par arrêter la gymnastique, parce que je n'avais plus aucun plaisir à en faire.

Par la suite, je suis devenue allergique à la compétition. J'ai continué le sport à haute dose, mais uniquement pour le plaisir. En presque 15 ans, j'ai du participer à 3 concours de saut d'obstacle, un parcours de TREC, une ou deux compétitions UNSS d'athlétisme, et des compétitions UNSS de gymnastique au collège, auxquelles je me rendais sans aucune pression et juste pour me faire plaisir.

En y repensant bien, je ne garde aucun bon souvenir fort de mes années de compétition, je me souviens du stress, je me souviens des savons que les entraîneurs pouvaient nous passer, je me souviens de la douleur physique. En revanche je garde des souvenirs fabuleux de freestyle de danse hip hop, du festival dont j'étais la co-organisatrice, de mes années de monitorat de voile, pendant lesquelles j'ai pu transmettre aux autres toute cette passion qui me faisait vibrer, toutes ces sensations qui illuminaient mes journées, lorsque je pouvais poser mes pieds sur la mer et sentir le vent tirer dans mes bras.

Il m'a fallu arriver à 26 ans et intégrer une équipe de Horseball pour vraiment renouer avec la compétition. Mais cette fois-ci c'est différent, parce qu'on est une vraie équipe, et qu'on prend du plaisir à jouer.

Elle est là la clé, le plaisir. Pour moi c'est la chose à garder toujours en vue lorsque l'on fait du sport, quel qu'il soit : si l'on ne prend pas de plaisir, alors ça ne sert à rien.

Je pense que l'esprit de compétition tue le plaisir que l'on prend dans le sport. Et j'ai du mal à comprendre ces gens qui ne sont là que pour battre les autres.

Je fais du sport avec cette idée en tête de toujours me dépasser, de toujours faire mieux. Si je gagne en étant mauvaise, ma victoire aura un goût amer, si je perds en étant meilleure que d'habitude, alors je serais fière de moi, même en étant consciente que j'ai encore du chemin à faire pour arriver au niveau de ceux qui m'ont battue.

Je pense que la seule compétition que l'on doit livrer, c'est contre soi-même. Tant que l'on progresse, peu importe l'importance du progrès, alors on gagne. Contre soi-même. Et on peut être fier de soi.

Cela faisait très longtemps que je n'avais plus fait de sport sans prendre de plaisir, mais le weekend d'avant, j'ai malheureusement vécu de nouveau la mauvaise compétition, celle avec son mauvais esprit, celle qui t'enlève tout le plaisir du sport.

Deux matchs contre la même équipe, les champions de la région voisine, et le premier gagné. Par nous, la petite équipe nouvellement créée, les débutants.

C'était un beau match et les deux équipes ont bien joué, la victoire n'a pas été facile, et nous sommes sortis vraiment satisfaits de nous et du match. Mais sur leurs visages, on pouvait voir que le retour serait difficile.

Et effectivement, quelques heures plus tard, ils jouaient avec notre mental, dans un match violent qui m'a laissé les genoux et les cuisses pleins de bleus. Ils ont fait faute sur faute, se sont amusés à nous provoquer, à nous pousser, à nous déstabiliser.

Et ils ont réussi, on a perdu. Mais pire, aucun de nous n'a pris de plaisir dans ce match. On est rentrée amers, déçus, mais pas de nous, du match, de son esprit, du fait que ceux qui s'étaient déplacés pour nous encourager loin de notre ville n'avaient pas pu voir du beau Horseball.

Je déteste cet esprit, et j'espère le rencontrer le moins souvent. En attendant je vais continuer de bosser dur pour m'améliorer, on va continuer à se faire des entraînements délires dans la bonne humeur avec mon équipe, à se charrier quand on loupe des buts, à tenter de belles choses en match même si cela se solde par une défaite. Parce que tous, on est là pour ça, s'améliorer, s'amuser, rire, se dépasser, et jouer, encore et encore.


vendredi 12 avril 2013

Danses latines à Besançon

Lorsque l'on cherche à pratiquer les danses latines dans une nouvelle ville, pas toujours évident de trouver les bons lieux pour.

Des cours en école de danse, ça se trouve, évidement. Mais souvent, il y a bien mieux pour progresser, bien moins traumatisant pour le porte monnaie, bien plus sympa pour faire des rencontres amicales - ou plus, si tu veux -, et bien plus agréable pour passer ses soirées : les bars ou sont organisés des soirées et cours de salsa - bachata, kizomba, ce que tu veux en fait, aussi -.

Et ceux ci, dans Google-mon-ami, ils sont nettement mieux cachés, mais pas bien durs à trouver non plus.

Ayant la chance de vivre tout près de la sublime ville de Besançon - enfin il fait froid et c'est loin de la mer, deux arguments affreusement repoussants pour la bretonne que je suis -, je peux te donner un petit coup de main et te parler de mes découvertes.

Enfin surtout de ma découverte, puisque même si je sais que la salsa se danse dans au moins quatre bars de la ville, mon petit repère à moi, c'est le Madelayn's.

C'est là-bas que j'ai atterri lors de mon premier cours, et cela m'a tellement plu que j'y suis restée.

Le mercredi soir, Medhi et Adeline proposent un cours de salsa cubaine, enfin plusieurs, selon le niveau. Le jeudi soir, ils récidivent avec de la bachata, cette fois-ci. Le vendredi soir, c'est Fabien qui occupe la piste avec ses cours de salsa cubaine. Les samedis soirs ont quant à eux un programme bien différent selon les weekends : tous les premiers samedis du mois, Fabien organise un stage de révision pour le cours de salsa intermédiaire, alors que tous les troisièmes samedi du mois, Medhi nous initie à la kizomba (le seul cours dans toute la ville !) et fait suivre ce cours par un stage de bachata niveau intermédiaire. Tous les cours et stages sont suivis d'une soirée libre avec une playlist concoctée spécialement par le prof composée de salsa, bachata, chacha, kizomba, merengue...

Ça, c'est le cours de bachata du jeudi

Personnellement, pour avoir testé les cours du jeudi et du vendredi, plus les stages divers - parce que le mercredi, c'est horseball - - j'ai une vie bien remplie, oui - - je commence à être très fatiguée, aussi -, je peux te dire qu'il y'a une super ambiance, qu'on apprend pas mal de choses, et que le rapport qualité prix est imbattable - les cours de Medhi sont à 2 euros, ceux de Fabien à 3, tu rajoutes au moins une conso au bar à ça, et ça te fait une soirée super sympa et sportive pour trois fois rien -.

Ça, c'est le tout dernier stage de kizomba

Maintenant, si tu habites Besançon ou ses environs, que tu veux apprendre la salsa ou la bachata, tu n'as plus aucune excuse. Et encore, je ne t'ai parlé que du Mad...

Le Madelayn's
19, rue de la Madeleine
25000 Besançon
09.83.52.71.82

mercredi 13 mars 2013

Du surf en Islande ?


Il y'a des voyages qui font rêver et qui impressionnent a la fois. Des voyages qui nous font dire "purée ça a l'air vraiment terrible, mais il faut en avoir dans le pantalon".

C'est une image, évidemment, puisque celui ci, ce sont des filles qui l'ont réalisé. Les cinq surfeuses Lee-Ann Curren, Jessy Miley-Dyer, Amandine Sanchez, Pauline Ado et Sofia Mulanovich ont pris la direction de l'Islande pour des sessions surf...pour le moins froides !


Je vous laisse découvrir cette vidéo et vous évader dans ces paysages magnifiques, portés par la bonne humeur de ces surfeuses, qui en ont vraiment dans le pantalon...

Ça ne vous donne pas des envies d'ailleurs, à vous ?


dimanche 20 janvier 2013

Belle année 2013

Il parait qu'on a tout le mois de janvier pour souhaiter la bonne année, alors je suis encore dans les clous non ?

Alors je te souhaite une très belle année, pleine de bonheur, de réussite, de rires, de bonne santé, et de sport !

Source : Facebook Nike Running France,
Pour dresser un bilan sportif de 2012, je dirais que cette année a plutôt été très riche sportivement.
  • Je me suis mise au running
  • J'ai recommencé l'équitation
  • J'ai intégré une équipe de horseball
De même, 2013 commence plutôt bien sur ce point là :
  • Nous avons commencé les tournois en horseball
  • Je sens que je commence enfin à retrouver du niveau en équitation classique
  • Après un stage passionnant en Bachata et Kizomba, je retrouve la motivation pour recommencer la danse
Par contre, il va falloir se motiver pour courir...

Mes objectifs pour 2012 ? Arriver à tenir 30 minutes en running à chaque sortie - je n'ai pas du tout un corps fait pour l'endurance, mais je sens que ça s'améliore -, me motiver pour aller au cours de bachata au moins une semaine sur 2, et me donner à fond pour le horse-ball, en suivant le rythme des tournois de l'équipe.

Et toi ? Quel est ton bilan sportif 2012 ? Tu prévois quoi pour 2013 ?